dimanche 5 avril 2015

100 000 canards par un doux soir d'orage

Auteur: Thomas Carreras
Editeur: Sarbacane
Collection: Exprim'
Nombre de pages: 321 pages
Prix: 16€
Date de publication: 7 janvier 2015

Résumé:
Anatidaephobia (n.f) : Peur panique à l’idée d’être observé, où que l’on se trouve, par un ou des canards. 
Quand Ginger, globe-trotteuse américaine de 19 ans, débarque à Merrywaters – le bled le plus paumé d’Angleterre – pour participer à un festival de musique, elle est loin de se douter que les canards seront aussi nombreux dans le coin. Ni qu’ils commenceront à l’espionner. Ni qu’ils représenteront, peut-être, un danger mortel. LA SUITE ? AH NON, C’EST TOUT, ON NE VOUS DIT PLUS RIEN ! Sachez seulement qu’aucun canard n’a été blessé pendant l’écriture de ce livre.

Mon avis:
Oh mon dieu!! Qu'est-ce que je vais pouvoir vous dire...
Bon, commençons par le commencement. Tout d'abord, j'ai lu ce livre en lecture commune avec ''le monde d'une lectrice''. Je vous mets le lien de sa chronique juste ici. Vous pouvez également retrouver l'interview de l'auteur ici.
Si je me suis lancée dans cette aventure (oui, la lecture de ce bouquin est une véritable aventure!) c'est grâce à Audrey de la chaine Le Souffle des Mots, qui en avait fait une bonne mais étrange présentation.
Je crains ne pas pouvoir vous en dire beaucoup à propos de l'histoire puisque la surprise des événements est sensationnelle (je vous laisse vivre les retournements de situation comme il se doit).

Je vous dirais juste que Ginger arrive à Merrywaters (un village d'Angleterre) pour un festival de musique, elle va voir sa vie totalement bouleversée par ce qu'elle va y vivre... C'est court et simple, mais croyez-moi c'est pour votre bien.

Je vais essayer de vous parler de certains points sans vous en révéler plus qu'il n'en faut. Le livre est divisé en plusieurs parties pas toutes avec le même/la même narrateur/trice. Au niveau de l'écriture, le style est franchement familier (voire parfois légèrement vulgaire), mais il s'adapte bien au contexte.

Ensuite, les péripéties s'enchainent rapidement et nous laissent toutes sans voix!!
Le vrai point négatif que je trouverais au livre est son nombre excessif de personnages: je me suis sentie perdue à de nombreuses reprises, ne me souvenant plus de qui était qui.
Je séparerais le livre en deux parties, marquées par un changement de narrateur et une accélération de l'action.
Un dernier point que je voulais aborder: on retrouve des personnalités telles que Stevie Wonder, Mackelomre, Mick Jagger, Meryl Streep...
Avec ça, je ne suis pas sûre que vous aurez envie de lire ce livre, mais croyez-moi vous ne serez pas déçus!!
Aussi étrange que cela puisse paraitre, à la fin de la lecture le résumé et la phobie des canards (et ma chronique) prennent sens.

COUP DE COEUR!
Je voulais pas ruiner ton suicide. Désolé. M'apprendra à ouvrir ma gueule. Ecoute, t'as qu'à faire une pause et réessayer tout à l'heure, OK? Page177

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